Notre deuxième Agence va bientôt ouvrir à Angers !! face à la Gare Saint Laud
Publié le 02/07/2023
nous avons du mal à croire que c’est vrai mais après 4 ans d’attente, nous pouvons vous annoncer que notre deuxième agence va bientôt ouvrir !! Et le #courrierdelouest en parle ici !
Et savez-vous où sera notre belle agence ?
Au rez-de-chaussée de ce bel immeuble décrit ainsi dans le Courrier de l’Ouest : "Un décor végétal recouvre la façade d’un immeuble en chantier face à la gare Saint-Laud à Angers. Une audace justifiée avant tout par les performances thermiques recherchées par l’architecte et promoteur de cette opération, Jean-François Réthoré.
La façade qui tamise et décor :
Angers, avenue Denis-Papin, 7 juin 2023. La façade sud de cet immeuble est recouverte d’un bardage en bois bakelisé. Une technique, déployée pour la première fois dans le département, qui s’avère particulièrement résistante au bruit et à la chaleur.
CO - Régine LEMARCHAND
Un décor végétal recouvre la façade sud d’un immeuble en chantier face à la gare Saint-Laud. Une audace justifiée avant tout par les performances thermiques recherchées par l’architecte.
C’est une façade sans équivalent qui s’offre depuis quelques jours au regard des passants mais aussi des voyageurs qui sortent du hall de la gare Saint-Laud à Angers.
La résidence Od’Hor, en cours de chantier et de commercialisation, est recouverte côté sud d’un étonnant bardage gris sur environ 200 m² de surface qui détonne le long de l’avenue Denis-Papin. Elle représente en filigrane deux arbres qui s’élèvent du 1er au 5e étage le long des fenêtres centrales.
« Ce dessin, c’est une façon d’affirmer le côté végétal de la ville d’Angers », explique Jean-François Réthoré, 67 ans, à la fois architecte et promoteur de cette opération immobilière contigüe au Grand Hôtel de la gare.
Se cacher du soleil en période estivale
L’originalité tient moins au symbole qu’au procédé et au résultat recherché. Les panneaux perforés qui ont été fixés sur cet immeuble, connu il y a encore sept ans sous l’enseigne Hôtel d’Orléans, sont en effet réalisés en contreplaqué « bakelisé » de 8 mm d’épaisseur. Il s’agit d’un assemblage par collage et pressage de feuilles de bois, recouvert d’un film phénolique qui l’imperméabilise et le protège.
Ce matériau plus souvent utilisé en carrosserie, notamment dans les fonds et les côtés des remorques et bennes, ne nécessite pas d’entretien. Appliqué comme parement dans le domaine de la construction, il se distingue par un très haut niveau de protection contre les méfaits du climat.
« L’inconfort d’été est devenu le principal inconvénient des bâtiments à cause du réchauffement climatique. L’objectif est de lutter contre l’ensoleillement tout en conservant un maximum de lumière et de vues », résume l’architecte dont l’agence est située à Beaucouzé.
La résille ne laisserait en effet passer à l’intérieur des appartements que la moitié de l’ensoleillement durant l’été et 20 % au cours de l’hiver. « La technique se rapproche du moucharabieh », illustre Jean-François Réthoré, en référence aux cloisons ajourées traditionnellement utilisées dans l’architecture arabe pour ventiler et rafraîchir les pièces mais aussi « voir sans être vu».
Les percements qui dessinent le tronc et les branches feuillues ont été découpées par l’entreprise candéenne Ciba Ouary. Positionnés à hauteur des fenêtres donnant sur les chambres et pièces de vie, ils laissent passer juste ce qu’il faut de clarté pour rendre les appartements agréables à vivre toute l’année, sans climatisation.
Ce bardage massif est compensé à l’arrière par des baies vitrées « surdimensionnées » par lesquelles passe la lumière filtrée. Des loggias, dotées de bandes d’inox réfléchissantes sur les flancs, concentrent les rayons du soleil quand ils sont au zénith et les laisser entrer plus généreusement le reste de l’année quand ils sont les bienvenus.
« Du bon sens paysan », formule l’architecte pas mécontent de ce prototype, longuement négocié avec le service d’urbanisme de la Ville et l’Architecte des bâtiments de France. Cette technique d’isolation par l’extérieur qui cache aussi un isolant en laine de roche de 140 mm d’épaisseur a en effet nécessité de grignoter une vingtaine de centimètres sur le domaine public.
Anthony PASCO
Trois appartements encore à saisir
Les silhouettes des arbres, dessinées par ajourement sur le parement, serpentent le long des fenêtres pour apporter de la lumière.
CO - A. PASCO
La résidence Od’Hor sera livrée à la fin de cette année ou début 2024.
Elle réunit derrière cette façade originale deux immeubles qui ont été surélevés de deux étages, uniformisés sous la forme de plateaux.
Cinq appartements ont été aménagés dans les étages sur une surface de 137 à 147 m² chacun. Les deux derniers niveaux ont été réservés, dont la plus grande surface au sommet du bâtiment, avec vue panoramique sur le quartier de la gare et au-delà, à un prix dépassant le million d’euros.
Les autres sont affichés entre 5900 et 6 500 € du m², montant inférieur de 20 % au prix du marché à prestations comparables, affirme le promoteur. Les trois derniers lots à saisir sont proposés entre 780000 et 850 000 €, avec une place de stationnement offerte pendant 20 ans, sur la voirie ou dans un parking voisin géré par Alter.
Le rez-de-chaussée sera occupé par agence immobilière Century 21. Cette surface correspond aux anciennes cuisines de l’Hôtel d’Orléans. Avant de fermer il y a 7 ans, cet établissement vétuste était loué par la municipalité pour héberger des demandeurs d’asile.."
Angers, avenue Denis-Papin, 7 juin 2023. La façade sud de cet immeuble est recouverte d’un bardage en bois bakelisé. Une technique, déployée pour la première fois dans le département, qui s’avère particulièrement résistante au bruit et à la chaleur.
CO - Régine LEMARCHAND
Un décor végétal recouvre la façade sud d’un immeuble en chantier face à la gare Saint-Laud. Une audace justifiée avant tout par les performances thermiques recherchées par l’architecte.
C’est une façade sans équivalent qui s’offre depuis quelques jours au regard des passants mais aussi des voyageurs qui sortent du hall de la gare Saint-Laud à Angers.
La résidence Od’Hor, en cours de chantier et de commercialisation, est recouverte côté sud d’un étonnant bardage gris sur environ 200 m² de surface qui détonne le long de l’avenue Denis-Papin. Elle représente en filigrane deux arbres qui s’élèvent du 1er au 5e étage le long des fenêtres centrales.
« Ce dessin, c’est une façon d’affirmer le côté végétal de la ville d’Angers », explique Jean-François Réthoré, 67 ans, à la fois architecte et promoteur de cette opération immobilière contigüe au Grand Hôtel de la gare.
Se cacher du soleil en période estivale
L’originalité tient moins au symbole qu’au procédé et au résultat recherché. Les panneaux perforés qui ont été fixés sur cet immeuble, connu il y a encore sept ans sous l’enseigne Hôtel d’Orléans, sont en effet réalisés en contreplaqué « bakelisé » de 8 mm d’épaisseur. Il s’agit d’un assemblage par collage et pressage de feuilles de bois, recouvert d’un film phénolique qui l’imperméabilise et le protège.
Ce matériau plus souvent utilisé en carrosserie, notamment dans les fonds et les côtés des remorques et bennes, ne nécessite pas d’entretien. Appliqué comme parement dans le domaine de la construction, il se distingue par un très haut niveau de protection contre les méfaits du climat.
« L’inconfort d’été est devenu le principal inconvénient des bâtiments à cause du réchauffement climatique. L’objectif est de lutter contre l’ensoleillement tout en conservant un maximum de lumière et de vues », résume l’architecte dont l’agence est située à Beaucouzé.
La résille ne laisserait en effet passer à l’intérieur des appartements que la moitié de l’ensoleillement durant l’été et 20 % au cours de l’hiver. « La technique se rapproche du moucharabieh », illustre Jean-François Réthoré, en référence aux cloisons ajourées traditionnellement utilisées dans l’architecture arabe pour ventiler et rafraîchir les pièces mais aussi « voir sans être vu».
Les percements qui dessinent le tronc et les branches feuillues ont été découpées par l’entreprise candéenne Ciba Ouary. Positionnés à hauteur des fenêtres donnant sur les chambres et pièces de vie, ils laissent passer juste ce qu’il faut de clarté pour rendre les appartements agréables à vivre toute l’année, sans climatisation.
Ce bardage massif est compensé à l’arrière par des baies vitrées « surdimensionnées » par lesquelles passe la lumière filtrée. Des loggias, dotées de bandes d’inox réfléchissantes sur les flancs, concentrent les rayons du soleil quand ils sont au zénith et les laisser entrer plus généreusement le reste de l’année quand ils sont les bienvenus.
« Du bon sens paysan », formule l’architecte pas mécontent de ce prototype, longuement négocié avec le service d’urbanisme de la Ville et l’Architecte des bâtiments de France. Cette technique d’isolation par l’extérieur qui cache aussi un isolant en laine de roche de 140 mm d’épaisseur a en effet nécessité de grignoter une vingtaine de centimètres sur le domaine public.
Anthony PASCO
Trois appartements encore à saisir
Les silhouettes des arbres, dessinées par ajourement sur le parement, serpentent le long des fenêtres pour apporter de la lumière.
CO - A. PASCO
La résidence Od’Hor sera livrée à la fin de cette année ou début 2024.
Elle réunit derrière cette façade originale deux immeubles qui ont été surélevés de deux étages, uniformisés sous la forme de plateaux.
Cinq appartements ont été aménagés dans les étages sur une surface de 137 à 147 m² chacun. Les deux derniers niveaux ont été réservés, dont la plus grande surface au sommet du bâtiment, avec vue panoramique sur le quartier de la gare et au-delà, à un prix dépassant le million d’euros.
Les autres sont affichés entre 5900 et 6 500 € du m², montant inférieur de 20 % au prix du marché à prestations comparables, affirme le promoteur. Les trois derniers lots à saisir sont proposés entre 780000 et 850 000 €, avec une place de stationnement offerte pendant 20 ans, sur la voirie ou dans un parking voisin géré par Alter.
Le rez-de-chaussée sera occupé par agence immobilière Century 21. Cette surface correspond aux anciennes cuisines de l’Hôtel d’Orléans. Avant de fermer il y a 7 ans, cet établissement vétuste était loué par la municipalité pour héberger des demandeurs d’asile.."